Galka peint sa joie et son bonheur de vivre
GALKA, Navodnitchaia-Malfoy Galina, est née 19 avril 1971 à Brest, en République de Bélarus.
D’origine Bielorusse, GALKA vit en France depuis une quinzaine d’années.
À l’école des beaux-arts de Brest, en Republique de Bélarus où elle étudie différentes techniques de peinture et de sculpture, elle développe ses talents artistiques et travaille en s’inspirant du monde qui l’entoure.
Vivant actuellement dans le Var, elle peint «sa Provence» comme elle la perçoit, bondissante, toute en explosion de couleurs, comme elle la voit, avec un coeur d’enfant, plein de lumière et gaieté.
Arrivée en France en 1994, naturalisée française en 2005, elle ouvre son atelier à Callian depuis 2006.
Elle est Membre de l’Institut Européen des Arts Contemporains.
Galka a su donner à la peinture
une nouvelle consistance,
un sursaut de bonheur et de naïveté.
Sous tous ces aspects simples
se cache une réelle perception
de la vie, du monde.
On assiste ainsi à
de chaudes effusions de couleurs,
dans le corps de femmes
ou sur les traits d’un paysage.
« La vie se construit au travers d’obstacles, de maladresses, et d’autant de choses qui la rendent merveilleuse et difficile a la fois.
J’ai toujours essayé de m’accrocher au cotés positifs de ces désagréments et c’est ce que je veux faire transparaître dans mes peintures.
La vie est belle, et il faut toujours voir le coté positif des choses, chacune de mes toiles est le reflet de mon être.
Les formes arrondies sont pour moi synonymes de douceur, les courbes leur apportent langueur et sensualité.
Le soleil et les couleurs présentent cette joie qui m’anime tout le temps, et que je veux partager avec le plus de gens possible.
Souvent, une toile est un petit clin d’œil humoristique, toujours dans un esprit similaire : rire, sourire, vivre.
Être optimiste aide chacun à vivre et je veux que l’on ressente ce sentiment en voyant mes peintures, car il est une caractéristique essentielle de mon être.
Quel serait le but de l’art, sinon de révéler l’artiste, de faire partager un bout de son âme.
En plus de montrer ce que je suis, l’art me permet d’honorer la nature, de montrer l’émerveillement qu’elle me procure.
Et j’ai alors envie de peindre tout ce que je vois, la rue, les animaux, les villages, les femmes.. , la vie.
Mes sculptures ont une dimension et une optique différentes.
Il s’agit, pour moi, de donner vie à la matière morte.
Une souche de bois ne nous a-t-elle jamais fait imaginer monstres, personnages, etc ?
C’est comme les nuages, chacun en fait une interprétation différente, mais aucun ne peut prétendre y être insensible.
J’agite, je chatouille et je guide l’imagination vers un monde qui m’est propre ».